Paul Tacarel, architecte, se rend tous les jours chez madame Champbaudet, non pas tant pour lui proposer des modèles de sépultures à la mémoire de son époux récemment décédé que pour visiter Aglaé, qui réside à l’étage au-dessus. Hélas, la veuve s’imagine que c’est pour elle que cet homme séduisant vient quotidiennement – difficile de ne pas songer à Bélise des Femmes savantes. Et Labiche aurait pu se contenter de nous dire « à quoi rêvent les vieilles filles », si le mari d’Aglaé, Garambois, n’avait pas découvert les tromperies quotidiennes de sa femme, obligeant ainsi Tacarel à fuir in extremis. Rompant avec sa maîtresse, ce dernier décide avec sagesse de se ranger en cherchant à s’unir avec une jeune fille encore innocente, Caroline, dont l’unique « défaut » est d’avoir un père ami de Garambois…